Inaky Archer [EN "PAUSE"]

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EN ÉDITION

[^^"""" Désolée pour les admins qui reviennent de vacance si le retour est un peu rude...]

Nom: Inaky
Prénom:Archer
Age: 24 ans

Animal : : Son animal en est un d’apparence très corpulente pour l’espèce à laquelle il appartient. Il s’agit d’un Grand Duc d’Europe aux grandeurs de 3 à 4 fois plus grande que la taille normale de cette espèce d’oiseau de proie. Son nom est Azuri (mais Archer le surnomme aussi Azur^^). Il fait 2 mètres de hauteur et déployées, ses ailes atteignent 5 mètres d’un bout d’une aile à l’autre.

Futur Statut: Sous-chef des Juges^^... enfin! Si le destin le veut bien! Wink

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CAMP: BIEN
RACE: Juge
Capacité Spéciale : Clairvoyance
Pouvoir de la LUMIERE
ELEMENT: Vent

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Pouvoir (1 maximum):
1. S’il y a un animal pouvant représenter Archer, c’est sans nul doute le loup par sa nature toujours prudente mais pouvant se montrer combien féroce à certains moments. C’est grâce à la ressemblance de son tempérament qu’il a avec cet animal qu’il pourra se transformer en ce dernier, plus spécifiquement en l’espèce communément appelée, le loup arctique. Déjà, il possède en lui plusieurs particularités de ce dernier. Préférant la furtivité et la discrétion, on reconnaît aussi dans ses yeux l’air menaçant que l’animal porte dans ses gênes(liée à la race). Seulement, en se transformant en loup, Archer accroîtra ainsi ces particularités de l’animal, de même que sa vitesse et sa sensibilité auditive.
Inaky Archer [EN "PAUSE"] Polarw10

Futurs Pouvoirs (3 maximum):
2. Bouclier pouvant bloquer toute chose essayant de le franchir, que ce soit des projectiles(en résumé, tout projectiles, armes de corps à corps et attaques magiques) ou des individus. Archer peut maintenir ce bouclier de 2 à 4 minutes, tout dépendant du nombre d’attaques qui y sont dirigées, de leur puissance et de sa force mentale du moment pour le contrôler.

Inaky Archer [EN "PAUSE"] Boucli11

3. Peut créer des tornades et des cyclones qui se feront de plus en plus puissants avec le temps et les entraînements.

4. Peut créer des blizzards, c'est-à-dire une tempête de neige très puissante, combinant de basses températures avec des vents très forts chargés de flocons de neige réduisant considérablement la visibilité.

Arme (1 maximum): En fait, Archer manie un grand nombre d’armes. Arc, épée à longue lame, petites épées, arbalète, bâton, mais, tout dépendant des situations et de ce qu’il transporte, le plus souvent, c’est l’arc, l’épée à longue lame ou le bâton qu’il manie, laissant les autres où il tient domicile ou dans un lieu tout aussi sûr.

Future Arme (1 maximum): En réflexion... je vous enverrai un mp à ce sujet lorsque j’aurai décidé...

Votre Histoire (8 lignes complètes minimum):
Archer est le fils de Lily et d’Elnos, deux anciens Juges de Zanar. Elnos est mort avant la naissance de Archer au cours d’un combat avec les Mutants. Lily, elle, en apprenant sa mort, avait décidée de s’éloigner des combats et de mettre au monde leur fils dans le lieu le plus sécuritaire qu'elle pouvait lui offrir: un autre monde. Elle avait entendu une rumeur comme quoi, le portail menant au Monde des Hommes était toujours ouvert et que le seul moyen d’y accéder était d’aller dans la Montagne du Froid et que là, il était dissimulé dans une cavité rocheuse.

Elle ne parla de son départ qu’à une seule personne : l’Oracle, à qui, elle fit une visite avant de partir. Bien que l’Oracle savait déjà tout, elle aimait entendre de la bouche des gens leurs aventures et avoir leurs impressions, choses qu’elle n’avait que de temps à autres par l’entremise de ses visions.

L’Oracle l’avertit alors qu’elle était en danger si elle continuait son voyage et qu’elle franchissait le monde des Hommes. L’Oracle n’en dit pas plus et Lily, malgré les paroles de l’Oracle, était déterminée à passer le Monde des Hommes, ce qu'elle fit malgré tout. Elle réussit donc à trouver la cavité dans laquelle se trouvait l’ouverture vers l’autre monde et le franchit sans peine. Une fois de l’autre côté, elle se retrouva dans un champ de blé. Une fois sortie de ce dernier, elle s’était dirigée vers une ville qu’elle voyait au loin, mais ne connaissant pas les dangers des villes, une fois qu’elle fût entrée dans celle-ci, elle traversa une rue sans regarder si des automobiles venaient, et se fit frapper.

Elle fût amenée en ambulance et on procéda à un accouchement provoqué. On doutait fort que la mère s’en sortirait, alors on devait au moins tenter de sauver le bébé. Avant l’opération, elle murmura simplement ces quelques mots à l’oreille d’un médecin : « Appelez-le Archer...». On l’endormit alors et, une fois le bébé à l’air libre, elle s’éteignit.
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Archer avait donc grandi dans une famille d’accueil. Et il se découvrit d’ailleurs bien vite une passion dans le maniement des armes anciennes et moins communes telles que l’arc, l’épée à longue lame, l’arbalète, le bâton et les petites épées. Il devenait assez doué dans ce domaine et réussissait à en impressionner plus d'un lors de diverses démonstrations d'habilité auxquelles il participa. Pourtant, cette fascination pour le maniement de ces armes historiques était en fait dûe, sans qu'il le sache, à son côté Juge qui refaisait surface et dont l'existence était destinée à combattre les Bannis et les Démons. Cependant, il n'apprendrait sa véritable nature qu'une fois qu'il aurait fait une visite chez l'Oracle, bien loin de ce monde qu'il connaissait bien...

C’est lors d’un voyage dans les rocheuses dans le but d’explorer de nouveaux horizons que Archer découvrit un bien gros petit oiseau dont la couleur de son duvet le faisait s’immerger dans le paysage tout entier.

Inaky Archer [EN "PAUSE"] Bebe_g12

Mesurant 1 pied et demi de haut, Archer se dit que l’oiseau n’était pas moins qu’un monstre pour l’espèce à laquelle il appartenait. Après tout, c’était la première fois qu’il voyait un si gros oiseau, et à regarder la grosseur de ses ailes comparativement à son corps en plus du duvet qui recouvrait son corps tout entier, Archer constata avec surprise qu’il s’agissait en fait d’un oisillon.

Ne voyant pas où étaient ses parents ni le nid qu’il avait sans doute quitté, Archer se retourna vers le petit qui, curieux, mais incertain, tournait autour d’Archer, s’arrêtant de temps à autre çà et là, soudain intéressé par un rocher pour finalement essayer de le retourner dans l’espoir d’y trouver un bon gros insecte juteux.

Puis, son estomac, n’ayant rien reçu depuis plusieurs jours, réclama d’être nourri et c’est alors que Archer eut la bonne idée de se l’offrir comme bon repas. Vu la grosseur de l’oisillon, il aurait certainement des provisions pour 3 jours de plus!

Il commença donc à faire un feu, guettant du coin de l’œil l’animal afin de ne pas laisser filer cette proie facile. Mais l’oiseau n’avait apparemment pas l’intention de partir. Curieux, il ne cessait de tourner autour d’Archer, s’arrêtant de temps à autres pour s’emparer d’un pli de sa cape avec son bec comme dans le but de le manger, ou d’un des lacets de ses grandes bottes et de les détacher. Le dîner fût donc retardé maintes fois, Archer devant éloigner son casse-croûte de lui et refaire ce que le gros petit monstre avait défait.

Une fois que le feu fût bien parti, Archer se leva pour aller chercher son repas sur pattes. Le cherchant du regard, il le vit soudain installé dans son sac de voyage. Découragé, Archer s’en approcha. Ce petit oiseau était bien incommodant. Heureusement, il ne causerait plus de soucis à personne une fois en brochette...

Archer se pencha pour dégager l’oiseau de ses affaires quand soudain il arrêta son geste. Il était si calme, si paisible... ce n’était qu’un petit... Ah! Non! Il n’allait pas en plus avoir des pensées tendres à son encontre! Il ne pouvait quand même pas s’encombrer d’un oiseau de cette grosseur pendant son voyage! C’était ridicule!

Archer se pencha et tendit la main afin de prendre l’oiseau, mais arrêta son geste, ne pouvant décrocher son regard du visage aux yeux fermés de l’oiseau.
RRrrhhhaaaaaaa , fit-il en se relevant en colère contre lui-même d’être aussi incapable de tuer un simple oiseau et d’ainsi obéir aux lois naturelles du plus fort qui survit. Mais pourquoi donc seulement à cet instant n’arrivait-il pas à le tuer? Ah! Tout à l’heure lorsque l’oiseau était éveillé, cela ne lui dérangeait pas de le tuer! C’était donc certainement parce qu’il dormait que cela le dérangeait tant. Parce qu’il devenait inoffensif et ne pouvait pas se défendre ou même prendre la fuite!

Archer se pencha donc et secoua l’animal un peu dans le but de le relever, mais il ne bougea pas. Persévérant, Archer refit la manœuvre avec plus de vitalité et de volonté. L’oiseau émit un petit cri, n’aimant apparemment pas se faire déranger, puis se leva, tourna sur lui-même et se recoucha.

Ah! Mais non! Aller lève-toi! Tu n’es pas digne d’un oiseau![i], s’exclama Archer désespéré par l’attitude de l’oiseau.

Il fronça les sourcils.

Très bien! Alors dans ce cas, ton cas sera réglé par la voie de la majorité sous la forme d’un vote. Donc! Qui est en faveur que la loi de la nature l’emporte et que je te destine comme repas du soir, affirmez-vous!

Le silence tomba alors, puis un gargouillis retentit du ventre d’Archer.

Ahhhh... Très bien! 1 fois! Et pour ceux étant en faveur d’un destin plus paisible, je l’espère si je te laisse la vie sauve, dévoilez-vous!

Un silence lourd tomba. Puis, Archer reprit...

Bon... je dois avouer que ma conscience penche pour cette option. Mais bon sang! Le vote ne peut pas être à égalité! Ahh! Et puis, va-t-en donc de mon sac, petit! Je ne vais quand même pas t’emmener avec moi! Tu m’imagines traîner un gros oiseau comme toi? Quand même! Si je le fais, tu dormiras dans mon sac pendant tout le voyage...

Et là, tout-à-coup, une légère brise souffla et quelque chose d’étrange se produisit, changeant le destin du petit oiseau. Peut-être était simplement causé par ce phénomène naturel, ou encore, que l’oiseau lui-même, inconsciemment, savait l’avenir que lui réserverait cette voie s’il faisait cela, et que c’est de lui-même qu’il le fît. Quoi qu’il en soit, sa petite aile reposant sur son corps imposant depuis les dernières minutes se souleva dans les airs.

Archer le remarqua.

Qu... quo... QUOI? Mais c’est pas sérieux... ça ne faisait quand même pas parti du vote ça... « tu dormiras dans mon sac... »... mais... ah non! Je n’ai pas mis fin au vote... mais alors... ce vote spécule que je ne dois pas te tuer et... que je dois te porter pendant mon voyage! Mais c’est pas vrai!

Archer était abasourdi. D’un côté, il ne voulait pas que l’oiseau le suive pendant son voyage sachant très bien qu’il le dérangerait à tout bout de champ, et de l’autre, il avait penché pour le vote et les règles étaient claires : il devait se plier à l’option qui avait eu le plus de votes. Et étant donné que le vote de l’oiseau allait à l’encontre qu’il devienne le prochain repas d’Archer et qu’il y ajoutait un élément, il était clair qu’Archer devait le respecter, la voie de la majorité ayant parlé à la place de son estomac. C’est alors que, à contrecoeur et fâché, il se pencha et ramassa son sac à grand peine avec l’oiseau à l’intérieur, ajoutant 6 livres(lbs) de plus à son sac vide de nourriture. Refaisant chemin, il dit tout bas :

Je hais la démocratie

Archer, chemin faisant et animal dans le sac ouvert, était donc obligé de garder l’animal avec lui jusqu’à ce qu’il trouve un endroit où il pourrait s’installer pour un bon moment. C’était du moins le but de son voyage lorsqu’il avait quitté la grande région de Mires.

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[Rendu à un certain moment, j’arrête de dire « il » et je parle à la première personne. Je l’ai fais parce que c’est l’instant où mon personnage devient vraiment ce qu’il sera le reste de sa vie, parce que cela donnait plus de profondeur à mon texte ensuite et aussi parce que je voulais que l’on se retrouve dans la tête de mon personnage]

La raison de son départ de la ville de Mires s'explique comme suit. Archer habitait alors une maison avec plusieurs amis et à un certain moment, chaque nuit, il était cerné par le regard d’un loup qui le suivait partout où il allait dans ses rêves. Il ne savait s’il était ou non une menace, mais savait cependant que, pour une raison inconnue, l’animal gardait ses distances.

Puis, lorsqu’il se réveillait ensuite à cause d’un mal de tête, il était aussi trempé de sueur. Un mois après que ces rêves eurent commencés, ses cheveux étaient déjà tous tournés du brun au blanc. Lorsqu’il avait constaté le commencement de ce phénomène, il était allé à plusieurs reprises voir des médecins, mais tous se trouvaient dans une zone inconnue, la nouvelle couleur ne prenant pas seulement son emprise sur la repousse des cheveux, mais en les décolorant à partir de la racine jusqu’au bout du cheveu. Émettant tout de même les mêmes hypothèses que dans les cas de pousse de cheveux blancs ordinaires au cours d’une période irrégulière, ils soulevèrent donc l’hypothèse du choc émotif, étant rapidement rejeté par Archer qui n’avait pas dû subir la mort d’un proche, eu un accident quelconque ou vécu quelque chose de particulièrement éprouvant dans les derniers mois.

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Ce n’est que les nuits suivant la journée où il s’était réveillé les cheveux entièrement blancs que le loup, ne l’ayant jamais quitté, s’approcha de plus en plus de lui à chaque nuit. Puis, une semaine plus tard, il dormait, il faisait nuit et était perdu sur un chemin dans un bois particulièrement dense. Son cœur battait à tout rompre. Il sentait la présence du loup, et chaque fois qu’il l’entendait et qu’il se retournait, il ne voyait que moins d’une seconde sa silhouette avant qu’elle ne disparaisse derrière un arbre pour ne pas réapparaître de l’autre côté. Cela faisait un bon moment déjà qu’il était là, à guetter les profondeurs menaçantes des arbres imperturbables qui le transperçaient de leurs yeux invisibles, comme les spectateurs cruels qu’ils étaient.

Les pas du loup étaient légers et rapides. Parfois même, Archer avait l’impression d’entendre sa respiration qui s’accélérait, comme si l’animal était en pleine chasse d’une proie avec laquelle il s’amusait en lui faisant voir sa fin proche. Le loup observateur était devenu le loup prédateur. Sa ruse était bonne. Il observait le comportement de sa proie afin d’y voir si elle était une menace et calculait les chances qu’il avait de la remporter. Maintenant, sa proie était toute fraîche, sans moyen de défense apparent, prête à être, dans les prochaines heures, digérée par un estomac plus petit que la sienne elle-même. Archer ne se doutait plus de la véracité du rêve. Ce qu’il voyait était vrai, et sa peur l’était aussi.

Soudain, des petits pas rapides dans la neige. Archer n’eût que le temps de se retourner pour voir la bête, gueule ouverte, fondre sur lui. Tombant au sol sous le coup de la bête après son saut, il se débattit avec énergie, frénésie. Mais son regard s’embrouillait, et il voyait noir à certains moments, la panique s’emparant maintenant de lui, devenu la proie. Ses vêtements avaient été griffés, déchirés, arrachés par la bête depuis un moment déjà. Le poil maintenant taché de rouge, le loup ne délogeait pas de la poitrine de sa proie, n’ayant apparemment qu’une seule idée en tête: déguster d’un bon repas. Et malgré ses tentatives répétées, Archer n’avait réussit qu’à pousser le loup d’une vingtaine de centimètres la meilleure fois, mais encore plus rapidement et avec encore plus de force qu’il en avait usé pour le repoussé, la bête revenait se délecter de la poitrine de sa proie, impuissante, ses forces la quittant de plus en plus à mesures que les secondes éternelles s’écoulaient.

Le loup gagnait et ses yeux le savaient. Il gagnait toujours, l’Infaillible. Et toujours, il ne cessait de mordre, d’arracher les organes de sa victime, et elle, ne restait éveillée, sans force, à le regarder. C’était terrifiant de se voir manger par un loup farouche, inatteignable, féroce, sans rien pouvoir faire. Il continuait ainsi à déchirer le ventre, entrant sa tête dans ce dernier, puis le cou au complet, ensuite les pattes de devant, et finalement son corps tout entier. C’est lorsque sa queue disparut à l’intérieur de son corps que Archer se réveilla, paralysé dans son lit, les draps complètement trempés, son corps tout entier lui faisant mal jusqu’au plus profond des entrailles et des os. Il avait l’impression que sa tête allait sauter tellement elle le faisait souffrir. Jamais il n’avait crut qu’une personne puisse souffrir autant partout en même temps. Il voyait sa fin proche. Les yeux clos, il n’osait pas les ouvrir, trop de douleur le submergeant partout. Mais des poils blancs avaient commencés à pousser partout sur son corps, et le bas de sa colonne vertébrale changeait, lui donnant une autre morphologie. Bientôt, le haut de son corps se rapprocha de ses jambes et ses jambes devinrent des pattes comme ses bras, son visage s’allongea au niveau de son nez et de sa bouche. Des larmes lui coulèrent. Ses os partout se brisaient, se détachaient, puis se reformaient. La douleur était atroce. Il ne pouvait pas crier. Il n’y arrivait pas. Et la douleur était pire que celle de se faire manger vivant pas un animal. Et plus longue aussi.

Puis, d’un coup, la douleur s’arrêta. Le souffle lui avait coupé tellement le mal l’avait submergé. Et là, sa respiration revint.
Forte.
Puissante.
Rapide.

Intérieurement, très profondément, il savait que quelque chose avait changé. Mais pour l’instant, sa conscience réalisait peu à peu qu’il était en vie, par le seul fait de respirer profondément les bouffées d’air qui s’offraient à lui. Il n’avait pas encore bougé, et n’osait pas encore le faire. Il était mort deux fois dans une même nuit. La première dans un bois, la deuxième dans son lit. C’était atroce de voir deux fois la mort de si près en si peu de temps. Et il avait terriblement peur de la voir une autre fois. Son esprit était tourmenté. Il avait eu si mal ces dernières minutes qu’il fermait les yeux si fort que cela en était venu à lui donner un simple terrible mal de tête. Les minutes s’écoulaient encore et il avait repris son souffle déjà depuis quelques minutes, mais ses yeux restaient clos et il n’avait pas encore bougé. Il pensa qu’il allait rester là pour l’éternité jusqu’à ce qu’une mort naturelle l’emporte. Cela lui semblait une belle fin de vie et la meilleure idée pour l’instant, mais à mesure que les minutes s’écoulaient encore, il reprit de plus en plus ses esprits et en convint que ce n’était peut-être pas la meilleure option à prendre. Cependant, il avait encore peur de ce qui pourrait lui arriver s’il ouvrait les yeux.

Mais il devait le faire. Il avait à le faire. Et il le fit. Voyant le mur au départ, quelque chose attira son attention. Il baissa les yeux et découvrit que son nez avait disparu pour laisser place à un prolongement de la silhouette faciale constituée de petits poils blancs avec à son bout une forme noire et sans poils. Son cœur fit un bond et il cria. Mais au lieu d’un cri, ce fût une plainte haute et animale qui sortit du plus profond de lui. Il se donna un élan et découvrit quatre pattes qu’il bougeait.

Il entendit alors bien distinctement quelqu’un sauter en bas de son lit à l’étage au-dessus de lui et qui descendit les escaliers de la maison à grande vitesse. Il devait se relever. Là. Tout de suite. Maintenant. Il devait faire quelque chose. Il se donna un élan et se retrouva en déséquilibre sur le lit, ce mou qui constituait son sol. Avec ses petites pattes, c’était difficiles de se relever, mais il y parvient finalement et se rendit au bout du lit.

C’est alors que, devant lui, la porte s’ouvrit à la volée. Il était prêt, heureusement. Il avait entendu chacun des pas que son colocataire avait fait et avait estimé la distance qui l’en séparait. Le visage de ce dernier changea à l’instant où il vit la bête. Moi. Et je bondis en bas du lit pour passer entre ses jambes et m’enfuir par la porte de derrière. Celle au moustiquaire et qui devant lui, se trouvait la porte que l’on ne refermait jamais la nuit afin de faire entre l’air frais dans la maison.

En quelque pas rapides, je m’y rendis. C’est alors que j’entendis le cris de mon portier de chambre, annonçant, en s’exclamant, de mon absence et ma présence.

Et je bondis comme le loup de mes rêves pour arracher le moustiquaire, bien sûr, en ayant pris mon élan avant. Je réussis presque à passer au complet, mais je ne levai pas assez haut mes pattes de derrières et elle prirent dans le côté que ma tête venait de quitter. Et mes pattes de devant rencontrèrent le sol, juste devant la porte. Je sentais les résidus de moustiquaires qui avaient percés la fin de mon ventre, juste avant mes pattes arrières. Mais je devais me déprendre. Sinon, ils allaient me tuer. C’était des Hommes.

Je mis plus de poids à l’endroit de ma blessure pour monter mes pattes de devant sur la porte à 90 degrés. Je n’avais pas le choix. Je montai le plus possible, le plus rapidement possible, enfonçant mes griffes dans la porte, et lorsque je sentit que je ne pouvait pas monter plus haut, je donnai un coup de mes pattes de devant et j’entendis 2 ou 3 des humains à l’intérieur de la maison arriver, et au même instant, mes pattes arrières, en pleine extension derrière moi, passer le moustiquaire arraché par la bête sauvage, blanche, que j’étais et glisser sur le bord du bas du moustiquaire qui restait encore. Je sentis le moustiquaire sur ces pattes, mais l’instant d’après, ce fût le sol que je sentis en dessous de mes coussinets de mes pattes de devant.

Et je partis de l’endroit, comme la bête sauvage que j’étais, avec un peu de sang s’écoulant le long de ses pattes arrières, boitant même de temps à autre mais me dirigeant du moins vers l’odeur réconfortante et protectrice de la forêt à plusieurs rues de là. En chemin, quelques crissement de freins et de coups de klaxon agressèrent mes oreilles délicates, mais rien ne me fît tourner la tête pour observer les dangers qui m’entouraient, l’odeur de la forêt m’agrippant par les entrailles, me semant de la rejoindre.

Lorsque j’y entrai enfin, je marchai plus calmement entre les arbres, rassuré par le nid protecteur de ma première mère couveuse. À un moment, lorsque je la sentis m’enlacer de ses bras et faire disparaître mes ennemis, je m’arrêtai. M’installant, je me mis à lécher ma blessure, instinctivement, pour offrir protection à l’endroit de l’ouverture et une guérison plus rapide.

Plus tard, je méditai. Je réalisais comment l’animal m’habitait, elle et son instinct, et comment elle avait été forte, mais aussi dangereuse. Mon cœur battait encore alors que je réalisais l’ampleur du changement qui avait opéré en moi. Mais heureusement, mettant fin à mes pensées angoissante, je m’endormis profondément et dormi comme je ne l’avais pas si bien fait depuis longtemps déjà.

Je rêvais aussi... au loup blanc qui m’avait mangé et que j’étais devenu. Mais il n’était plus aussi réel qu’il l’avait été. Au contraire. Maintenant, il se présentait sous une forme fantomatique. Je ne voyais pas le bas de ses pattes, mais il se clarifiait de plus en plus jusqu’à être une forme presque réelle dans le haut de sa silhouette. En fait, il me regardait et j’avais l’impression qu’il me souriait. C’était ridicule comme pensée. Quoi qu’il en soit, je sentis qu’il ne me voudrait plus de mal. Puis, l’instant d’après, il se retourna et partit en courant avant de disparaître dans l’immensité noire du paysage et dont mon regard se porta sur la seule chose à l’apparence réelle qui s’offrait à mes yeux: le ciel noir étoilé avec en avant-plan de magnifiques aurores boréales.

Le lendemain, bien sûr, rien n’avait changé. J’étais encore le même loup blanc blessé que la veille. Seulement, ma blessure guérissait, et dès le matin, je fît face une fois de plus à mon instinct puissant d’animal, mais cette fois, je commençai à m’opposer à lui. Si je voulais survivre, je devais absolument agir de façon plus réfléchie de temps à autre et me contrôler. En fait, j’entendais les autos et les camions qui passaient par la voie toute proche de la forêt où j’étais. Mystérieusement, je ne les avais pas entendu la veille ni au courant de la nuit. Sûrement était-ce dû à mes forces perdues. Mais je ne devais pas m’en aller. Après tout, je savais qu’ils ne faisaient que passer.

Je ne voulais pas toujours être envahi par cet instinct d’animal. Je voulais redevenir moi-même. Mais j’ignorais comment faire. Je commençais donc par me concentrer et sentir chaque fibre de mon corps de loup, chaque poil se soulever sous une brise qui soufflait, et même la blessure que je m’étais faite pendant la nuit. Lorsque je crus que je l’avais atteint, j’essayer de m’imaginer ma forme humaine et, par la force de mon esprit, redevenir l’Archer que j’avais toujours été. Mais je ne réussis pas.

J’optai donc pour détendre mon corps tout entier et m’imaginai le loup que j’avais vu dans mes rêves. Je l’imaginai, mais rien ne fonctionna. Donc, je me réimaginai l’endroit où je l’avais vu à mon dernier repos : un endroit tout constitué de noir avec au-dessus un ciel étoilé empli d’aurores boréales. Et je l’appelai par un hurlement comme je n’en avais pas encore fait dans la réalité, me disant qu’il ne répondrait certainement pas si je l’appelais de mon langage d’humain. Il apparût alors entre deux arbres qui venaient d’apparaître, et j’émis une espèce de grognement en faisant un demi-tour vers le bas avec ma queue pour lui faire comprendre ce que je voulais. J’étais certain qu’il me comprenait, car je connaissais son dialecte et savais comment m’exprimer en ce dernier. Et le loup émit un grognement. Il perdit alors je plus en plus son apparence fantomatique pour redevenir un véritable loup. Je sentit mon corps se transformer à mesure qu’il reprenait une forme réelle. Puis, lorsqu’il fût sur le point de recouvrer entièrement son apparence, il s’enfuit, tel le loup qu’il était et la peur que lui insufflait toujours les humains desquels je me rapprochait. En cas de besoin, je savais comment l’appeler. Je n’aurais qu’à le retrouver à cet endroit.

Enfin, j’avais repris ma forme humaine. L’instinct animal m’avait quitté, ainsi que sa sensibilité auditive particulièrement développée. Je me relevai alors sur mes deux jambes et partit en direction de la maison que j’habitais, m’inventant un scénario plausible dans la tête, soit que je m’étais réveillé en sursaut parce que des bruits dams ma chambre m’avaient réveillés. Que j’avais constaté la présence du loup, m’était échappé par la fenêtre de ma chambre en prenant soin de la refermer derrière moi, mais que le loup m’avait suivi je ne savais trop de quelle façon et c’était mis à me courir après et que j’avais instinctivement pris la direction de la forêt pour monter à un arbre, mais que le loup avait été patient et que j’avais du attendre au matin avant de redescendre pour ne pas être attaqué par l’animal. Voilà! Et c’est ce que je dis à mes copains aux regards ahuris qu’ils firent en me voyant franchir la porte. Bien sûr, tout fonctionna et je dis qu’une branche que je n’avais pas vue m’avait fait l’entaille à la jambe lorsque j’avais monté l’arbre.

Une fois quelques paroles échangées avec eux, ils voulurent boire à ma santé et m’offrir à boire. Je refusai poliment leur offre et leur dit que je préférais aller directement sortir de la ville à un endroit que j’ignorais encore. Que cela me ferait du bien, que j’étais encore secoué par les événements. Ils ne montrèrent que très peu d’opposition, se faisant au contraire compréhensifs. Je remplis rapidement un sac à dos de vivres, m’habillait convenablement pour le voyage et partis sans désir de revenir. Et c’est ce que je fis.

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L’oiseau avait grossi considérablement, car comme Archer l’avait pensé, il n’était qu’un oisillon lorsqu’il l’avait trouvé. Maintenant 2 mois et demi après sa découverte, il avait prit des proportions effarantes. Bien sûr, il ne le portait plus dans son sac depuis bien longtemps déjà. En fait, il ne l’avait fait que pendant 5 jours, mais l’oiseau grossissant et grandissant beaucoup trop rapidement, il devenait ainsi bien trop lourd à porter et il l’avait donc laissé au sol. Au début du voyage à l’extérieur du sac, l’oiseau marchait sur ses pattes en battant des ailes de temps à autres pour être plus léger et donner à ses pattes moins de poids à porter. Aussi, contrairement à ce qu’Archer avait pensé au début, comme quoi, l’oiseau se tannerait une fois qu’Archer ne serait plus un mystère pour lui et partirait, le volatile resta avec lui, le suivant partout où il allait.

Étonnamment, Archer découvrit que cet oiseau était assez débrouillard. Au début, se contentant de manger des insectes, son appétit augmenta et il s’attaqua, une fois qu’Archer avait eu le dos tourné pour aller se soulager, au lapin qu’il avait mis à cuire au-dessus de son feu. À son retour, il n’avait bien entendu pas apprécié ce que le rapace avait fait et lui apprit bien vite à ne pas refaire le geste, bien que l’oiseau, lui, eusse adoré le repas. Heureusement, c’est le jour suivant qu’il attrapa sa première proie seul : un écureuil, qu’il engouffra goulûment, s’étouffant même avec un os.

Il apprit plus tard à être moins empressé et à faire le tri de son repas en laissant de côté certaines parties non comestibles de l’animal. Enfin, il découvrit l’utilité de ses ailes après être monté, chemin faisant, sur un énorme rocher. Mais une roche sur laquelle il avait mis une patte s’était dérobée et était tombée en bas du rocher. L’oiseau avait perdu patte et après un début de chute et quelques battements d’ailes, il était revenu maladroitement au-dessus du rocher avant de se reposer durement sur lui. Bien vite, il apprit comment se servir de sa queue comme gouvernail et s’éloigna de plus en plus d’Archer, se prenant parfois dans les branches des arbres qu’il n’arrivait pas encore à éviter et se blessant même régulièrement.

Archer dût alors se rendre à l’évidence : il devait quitter les sentiers et se diriger vers des aires de terrains découverts car l’oiseau, qu’il avait maintenant découvert comme étant un énorme Grand Duc d’Europe, avait atteint des proportions beaucoup plus grandes qu’il ne se l’était imaginé au départ.

Après 2 semaines et demi ensemble, Archer avait fini par lui donner un nom : Azuri, qu’il surnommait aussi Azur. Aussi, l'oiseau ayant atteint une bonne grandeur, Archer se risqua après 4 mois à monter sur son dos et il découvrit alors les joies de voler.

En fait, l’espèce normale atteignait environ 70 centimètres de hauteur tandis que celle de Azuri faisait de 3 à 4 fois cette taille, atteignant maintenant 2 mètres de hauteur et déployées, ses ailes faisant 5 mètres d’un bout d’une aile à l’autre. Heureusement pour Archer, le rapace en était maintenant à sa taille maximale.

Finalement, après plusieurs mois de marche et de vol, Archer se retrouva à Zanar par la voie d’un portail qu’il franchit intentionnellement, curieux, et rassuré par son instinct, non d'animal, mais d'humain, lui assurant qu’il pouvait le franchir et qu'il n'y avait aucun danger pour l'instant. C'était là, qu’il allait découvrir toute la vérité...

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Description Physique (3 lignes complètes minimum): Les cheveux blancs, les yeux bruns, Archer est un homme de grande taille portant des vêtements noirs et une cape rouge. Le regard parfois pénétrant, Archer a le teint de peau foncé.
Description Psychique (3 lignes complètes minimum): Archer est quelqu’un d’assez discipliné et de planificateur. Archer est un homme entièrement dévoué au Bien et qui préfère agir de façon planifiée, préférant laisser le moins de chances possible à l’improvisation ce qui selon lui, fait agir les gens par les émotions qui les submergent sur le moment et par empressement, plutôt que de façon réfléchie, faisant éviter ainsi un plus grand nombre d’erreurs.
Qualités (3 min / liste): Loyal, débrouillard, juste, rusé, Archer est quelqu’un d’assez discipliné et de planificateur.
Défauts (2 min / liste): Même si la survie de Zanar dépend de la coopération entre les 4 clans, Archer témoigne une grande difficulté à se lier pendant un temps déterminé avec ceux qui ont amenés la mort de ses parents. Aussi, bien qu’il aime agir de façon préparé et ordonnée, il peut arriver que son instinct de loup prenne le dessus et qu’il agisse de temps à autre, plus instinctivement que de façon planifiée.

Comment avez-vous trouvé Zanar Requiem ? (bouche-à-oreille, TopSite [nom], par l'intermédiaire de..., etc.): Bouche à oreille par l’intermédiaire de Frayze! !
Pourquoi vous êtes-vous inscrit sur Zanar Requiem ? Reposons la question autrement : pourquoi me suis-je créé un deuxième compte?: Bien que je n’ai fait que très peu de messages avec mon autre personnage, le RPG de mon premier personnage semble suspendu pour l’instant puisqu’un grand nombre de personnes sont présentement en vacance, ce qui est tout à fait normal. Donc, pour continuer poster dans la partie rôle play, je n’ai eu d’autre choix que de me créer ce deuxième personnage que j’aime tout autant d’ailleurs^^, en partie à cause de la règle du RP obligeant notre personnage à ne se trouver qu’à un seul endroit à la fois.

Est-ce un Double-Compte ?: Oui, mon autre personnage est Sybelle, une démone.

C

Je poste juste pour te prévenir que je lirais tout sa demain, là je n'en ai pas le temps ^^'.

Par contre j'ai eu le temps de voir que ton animal était un loup, si Ame était là, elle se mettrait à râler. C'est vrai qu'il y a un peu beaucoup de loups, surtout du coté du bien, donc si tu avais une autre idée d'animal, je te conseillerais de prendre l'autre idée ^^.
Moi perso sa me dérange pas trop... Mais sa va râler si y a encore un loup... Razz

Donc demain j'édite ce message et je te dis s’il y a des choses qui me gênent.

Sur ce, à bientôt sur Z-R Noël veille

Mil /

Bienvenue à toi Archer !

Doriak, si tu avais lu, Archer a un hibou comme animal XD Le loup est une transformation. Mais je ne sais pas du tout si c'est autorisé comme pouvoir. J'ai un énorme doute là-dessus.

Ensuite, pour les attaques, il faudrait un nom ! Et j'aimerais aussi que tu expliques un peu mieux les pouvoirs comment ils sont, que tu décrives en gros.

Les descriptions physique et psychique sont beaucoup trop courtes ! J'aimerais que tu en écrives un peu plus.

Ensuite, pour les défauts, je n'en vois qu'un seul Oo Archer a des difficultés à se lier aux autres... (C'est ce que je comprends moi.) Et le deuxième défaut ? Faut être un peu plus explicite.

Pour l'histoire, désolée de n'avoir lu que très brièvement, je laisse le soin à Doriak de faire des remarques là-dessus.

Voilà ! Je te souhaites une bonne continuation et à très bientôt sur Zanar Requiem ! ^^

C

Malheureusement, j'ai encore un peu de temps pour lire l'histoire, puisque normalement il faut un minimum de 20 messages RPG pour créer un double compte (Regle 3bis * Les Doubles-Comptes).
Or Sybelle n'en a que 8 ^^'.

Donc la fiche devrait être en attente le temps que Sybelle poste 12 messages.

¤ Race Master ¤

Bonjour !

Merci aux modos d'avoir veuiller au grin !
Et oui dommage mais la règle est la règle. Revient poster ici quand tes 20 messages RP seront atteints. Tu seras validé par la suite je pense.

¤ Race Master ¤

Bonjour et "BIENVENUE" à toi Archer !
Ah ! Le Double-Compte de Sybelle... Coucou ! xD

Tout d'abord, je remercie Doriak et Ame pour t'avoir rapidement pris en charge pendant mon voyage en Chine tongue

Ensuite, je t'avoue ne pas avoir encore lu ta Fiche dans son intégralité. D'une part parce que tu l'as laissé annotée "EN EDITION", donc il est susceptible d'y avoir des changements, et d'autre part parce que le reste du Staff a déjà commenté ta Fiche.

Je me permets donc simplement de rappeler 2 points :
- Description Physique : Bien trop courte Wink

- Double-Compte : Comme l'a souligné Dori, tu n'as pas encore le nombre de "Messages RPG" requis pour te créer un Double-Compte. De plus, tu ne m'as pas prévenu par MP de ce 2ème Compte alors que ceci est clairement demandé dans le Règlement.

Voilà, donc ma chère Sybelle, je t'invite à m'envoyer un MP dès que tu auras légèrement rectifié ta Fiche ET que tu auras posté 20 "Messages RPG". En attendant, je ne peux que te remercier de ta patience et te souhaiter BON COURAGE !
>> Je note ta Fiche EN "PAUSE".

Sur ce, je te dis à très bientôt sur Zanar Requiem ! Rolling Eyes